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[News] Portkeys BM5 IV et IV WR : Un vent de modernité pour les moniteurs pros abordables

Discussion dans 'News du secteur de la vidéo' créé par Lucas.janiszewski, 17 Janvier 2025, à 11:50.

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  1. Lucas.janiszewski

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    Lucas.janiszewski a publié un nouvel article:

    Portkeys BM5 IV et IV WR : Un vent de modernité pour les moniteurs pros abordables - L'arrivée des Portkeys BM5 IV et BM5 IV WR, annoncée en octobre 2024 et désormais disponible largement en France

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  2. nicolas poisson

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    Une petite remarque sur la calibration:

    Il est possible de calibrer n'importe quel moniteur de tournage grâce aux LUT. Il n'y a pas besoin d'une application fournie par le constructeur, on peut utiliser DisplayCal (gratuit). Mais ça entraîne un travail assez lourd. Quand on ne peut avoir qu'une LUT à la fois dans la chaîne image du moniteur, on est obligé de fusionner la LUT "Log->709" et la LUT "calibration" en une seule LUT "Log->709+calib", qui n'est valide que pour ce moniteur particulier. Ca marche très bien, mais il faut faire cela avec toutes les LUT qu'on souhaite importer dans le moniteur. Et il faut refaire tout le boulot à chaque fois qu'on renouvelle la calibration (parce que le moniteur a vieilli et dérivé depuis la précédente).

    Si en plus on se construit des LUTs compensées en exposition, ça devient vraiment conséquent. Typiquement, j'ai des séries de 5 LUTs (exposition -2, -1, 0, +1 et +2 diaphs) pour F-log et Slog3, soit 10 LUTs à créer à chaque nouvelle calibration. Alors qu'en séparant la calibration de la transformation Log>709, je n'aurais qu'une seule LUT à renouveler.

    Sans aller dans le haut de gamme, Accsoon permet des doubles LUT avec son Cineview Nano (et probablement d'autres produits). J'ai pas testé, mon iPad est trop vieux pour la dernière version de l'app' qui fait ça :-(
    L'Atomos Ninja V permet la calibration avec une sonde X-rite, mais ça marche très mal pour deux raisons:
    - l'étalonnage cible une courbe "pur gamma 2.4", sans tenir compte du noir pas complètement noir de la dalle. Du coup, les noirs sont bouchés
    - l'étalonnage est désactivé quand on insère des LUT, il n'est appliqué qu'en mode natif.
     
    #2 nicolas poisson, 18 Janvier 2025, à 10:33
    Dernière édition: 18 Janvier 2025, à 10:52
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  3. mhr

    mhr
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    Alors, j ai un questionnement sur cette façon de travailler aujourd hui, que je trouve parfois paradoxale
    D un côté on a des cameras qui permettent de travailler avec de plus en plus de latitude à l étalonnage en RAW LOG en 10 ou 12 voir 16 bits avec parfois des 15 diaph de dynamique, on a des outils d étalonnage de plus en plus performant qui permettent en autre de de-bruiterpour récupérer du diaph dans les basse lumière, et récupérer aussi certaines hautes lumières
    Et au tournage, par contre, on va vouloir visualiser directement sur les moniteurs, l image finale telle quelle serait à la sortie de l etalonnage, après bien sûr, un gros travail de creation de luts, et de calibrage fin avec des sondes, pour eviter toute petite derive du moniteur.

    Donc très bien, mais si on a été si pointilleux au tournage, pour pouvoir visualiser directement l image finale, je me demande à quoi sert toute cette latitude fournie par les codecs et la puissance des outils d étalonnage, puisque le resultat est déjà là, donc l étalonnage devrait se résoudre uniquement à placer la Lut de tournage sur la timeline, et éventuellement de minimes correction de raccords entre les plans, et basta.

    Sauf que lorsque l on regarde l étalonneur travailler, ben ce n est pas le cas. Il va corriger, les températures, les contrastes, ajuster les niveaux basse moyenne haute lumiere, rajouter un masque avec correction et tracking sur un visage, un autre par là, une couleur de peaux modifiée, un detourage par ci, un dégradé par là, un effet de flare par ci, etc etc...
    Donc à l arrivée l image finale même si elle conserve le look choisi avant le tournage, elle ne sera plus fidèle à ce qu on visualisait au tournage, donc je ne vois pas bien alors à quoi aura servit tout ce pinaillage sur les moniteurs pour faire disparaitre de petites dérives, pour correspondre à un soi disant final qui ne sera de toute façon pas celui là

    A l epoque de l argentique on avait moins d’obsession du contrôle immédiat
    Aujourd’hui, avec les moniteurs et LUTs, on cherche à valider tout en direct, ce qui peut paradoxalement brider la spontanéité.
    On tournait pourtant avec confiance (on avait pas le choix) avec méthode, sans se soucier d’un retour visuel permanent alors qu il y avait pourtant d avantage d aléatoire
    Mais bon ce n est qu une réflexion personnelle
     
    #3 mhr, 18 Janvier 2025, à 12:26
    Dernière édition: 18 Janvier 2025, à 17:23
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  4. bcauchy

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    Par contre le ratio performance/prix de ce Portkeys BM5 IV semble intéressant ...
     
  5. nicolas poisson

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    Je pense qu'il ne faut pas se tromper sur l’intérêt d'un moniteur calibré et avec LUT.
    Les LUT sont des outils limités: elles ne permettent que des corrections globales sur l'image. Les outils d'étalonnage sont considérablement plus évolués, en particulier grâce aux masques. En post-prod, il est possible de supprimer la teinte verte d'un visage filmé dans les sous-bois, sans abîmer la teinte verte des feuillages autour. Il est possible de diminuer la luminosité de l'abat-jour, sans toucher à un autre objet de luminosité équivalente dans l'image. La grande dynamique des caméras actuelles permet tout cela.
    Lors du tournage, on cherche bien sûr à ce que la LUT soit le plus proche possible de l'étalonnage final, dans la limite de ce que permet une LUT. On doit accepter que ça n'est pas exactement la même chose, que certains défauts visibles lors du tournage pourront être corrigés en post-prod. Mais ça n'est pas un problème: l'objectif d'un moniteur fidèle sur le tournage n'est pas de ne plus rien faire en post-prod, mais de prendre les bonnes décisions lors du tournage: faut-il remonter un peu le projecteur de débouchage ? Faut-il diminuer la puissance de la lampe de jeu ? Est-ce que ça reste crédible où est-ce qu'on devine le projecteur qui la renforce hors champ ?

    "Avant", on ne s'embêtait pas autant. Certes. Mais il me semble aussi qu'avant, on travaillait de manière bien moins qualitative. On définissait quelques ratios de contrastes, entre les deux joues du visage en gros plan, entre la joue éclairée et le fond. Et puis ? Ben c'est à peu près tout. Le reste, on le subissait. Quand j'active la fonction "EL Zone" sur mon Ninja V, chaque pixel est un spotmètre.

    Je ne dis pas que les anciens travaillaient mal, ni que la qualité de l'image fait la qualité d'un film. Ca n'a aucun lien. Mais quand on compare des images réussies d'aujourd'hui et des images réussies d'il y a 40 ans... et ben ça n'a quand même pas grand chose à voir.

    Par exemple, "avant", on faisait ça (Monsieur Klein):
    MrKlein.jpg

    Ou ça (Stalker):
    stalker.jpg

    Je trouve ces images magnifiques.

    Mais aujourd'hui, on sait faire ça (Boîte noire):
    boite-noire.jpg

    Ou ça (State of Happiness):
    lykkelan.jpg

    Ou encore ça (Portrait de la jeune fille en feu):
    Portrait-de-la-jeune-fille-en-feu.jpeg
    Ou enfin ça (Skyfall):
    skyfall.jpg

    Ca n'a rien à voir, et pas seulement grâce au piqué ou à la sensibilité (même si ça contribue bien sûr). C'est aussi qu'on maîtrise bien mieux dès le tournage, et qu'on dispose d'outils plus évolués.

    Si je fais le parallèle avec le théâtre: du temps de Shakespeare, on se faisait bien moins chi** avec l'éclairage: on jouait dehors, de jour, et parfois sous la pluie (souvent en Angleterre). Ou dans une salle éclairé de façon surnaturelle par la rampe de bougies (avec belle mise en valeur du menton et des trous de nez). Pour autant, je ne crois pas que ça ait un quelconque lien avec la spontanéité. On avait moins d'outils créatifs à disposition, on faisait avec ce qu'on avait.
     
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  6. AQW333

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    Ce que voulait dire, il me semble, mhr, c'est que si on connait sa caméra, on la règle en fonction de ses limites et on sait après test ce que cela donnera .

    La Lut qui va bien au mm près …

    Avec un waveform des 3 couleurs, ça ne suffit plus pour surveiller un log ?

    Barry Lindon c'était de la daube, peut-être ? .. 1975 :-)

    Bref, pour beaucoup, c'est devenu le fameux outil obligatoire pour valider une démarche pro, et on se plante quand même.

    Surtout que là, on parle de moniteur portable sur petite config (surveiller le point, notamment)
    et les possibilités post-prod de folie, actuelles, sont un argument de plus contre cet excès, si je comprends bien mhr.

    Le 32 bits float pour le son est également juste un outil adapté à la prise en solo, cela n'en fait pas encore un outil universel sur tous les plateaux !?...Heureusement, il y a aussi des ingé son.
    Ok cela se généralisera avec les nouvelles générations et l'environnement technique obligera de travailler avec.

    Trop ou pas assez d'outils...? Va savoir ...
     
  7. nicolas poisson

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    J'ai bien compris, mais je pense que c'est faux. Cette méthode a été utilisée pendant des décennies parce qu'il n'y avait pas le choix. On était forcé de travailler avec approximation. On pourrait théoriquement mesurer chaque objet d'une scène au spot-mètre, et avec l'expérience, mémoriser des ratios de contrastes pour tout. Mais ça serait ingérable. Donc en fait, on n'établit des règles prédictives que pour les objets les plus essentiels, et le reste est largement pifométrique.

    Non, parce que ça ne donne aucune idée de l'esthétique. Un waveform te dit si ta mire de gris est à 41% d'IRE, quels objets saturent ou sont proches du bruit de fond. C'est un outil de technicien.
    Sauf que la question n'est pas seulement "est-ce que ma scène rentre dans la plage dynamique de ma caméra ?", mais "est-ce que le rendu correspond à l’intention ?" C'est précisément ce que permettent les LUT. On passe d'un regard technique à un regard artistique. C'est un confort immense.

    Si on veut faire une analogie avec l'audio, c'est la prise de son avec une seule paire de micros: le "mixage" se fait dès la prise, en déplaçant les micros et les musiciens. Donc Ringo avec sa batterie, on l'envoie là-bas au fond. Mais de combien de mètres doit-on éloigner Ringo pour que ça s'équilibre ? Tu es bien content de t’asseoir dans un cabine isolée pour écouter, parce que le VU-mètre ne te donne rien de l'équilibre, il te dit juste si ça sature ta bande.

    Enfin, je ne crois pas que ces outils aient un lien avec la "spontanéité". Une LUT, une calibration, ça se prépare à l'avance. Ca n'empiète pas sur le temps de tournage. Alors bien sûr, si on travaille à l'arrache, qu'on découvre le modèle de la caméra en débarquant sur le lieu de tournage, et qu'on perd 2h à régler le matos, c'est ça de perdu pour les comédiens et ça peut se ressentir dans le film. Mais c'est pas un problème d'outil, c'est un problème d'organisation, de lissage de charge.
     
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  8. giroudf

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    oui c'est un peu le problème. "Trop ou pas assez d'outils...?" n'est pas la question.
    c'est sa puissance, surtout en fonction des capacité de celui qui l'utilise.

    Il y en a qui s'achetent le moniteur de la mort qui tue, mais qui ne savent meme pas comment utiliser un waveform ou un histogramme, la on est dans le "trop".
    Mais c'est pas la faute a l'outil. c'est pas lui qui est trop, c'est l'utilisateur qui est pas assez.

    alors on peut se rever d'etre un jour un "pro", d'acheter en fonction l'outil qui fait (fera, quand on saura comment) tout. Ca c'est en fonction de son budget, de ses attentes et de son ego.
    Il y a pas mal d'amateurs dans ce cas, qui se forment tout seul, en mettant la barre chaque fois un peu plus haut.
    Il y a aussi celui qui decide un matin de faire du cinema, et qui le soir meme s'est deja payé tout l'equipement et qui te dit pas pas j'ai une lampe, mais j'ai une godox Sc450 k II avec des cable ZX40 de chez machin. comme si ca justifiait tout. (Ah ca marche pas, j'ai pas du acheté le bon modèle alors.)
    Ou plus embetant, si ca marche, c'est pas a cause de lui , mais a cause du matos ?

    Moi qui travaille dans l'informatique , je te dis pas le nombre de gens qui connaissent tous les mots sans avoir la moindre idée de ce que ca veut dire.
     
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  9. bcauchy

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    :hello: Oserais-je dire "maître! " :jap:..."juste assez" versus ce que l'on souhaite
    C'est ce " ce que l'on souhaite " qui est essentiel ....
    Et ..."ce que l'on souhaite" est souvent assez éloigné de la "puissance" potentielle de l'outil..
    sur/sous employé ...qu'importe, s'il satisfait nos souhaits.

    "dans mon cas** ", (** le plus important ..."mon cas" ;) ) du confort de prises de vues dans le cadre de captations sur trépied ...
    "cerise" quelques outils intégrés de contrôle de l'image ..pourquoi s'en priver .. mais ce n'est pas "mon"'objectif premier. (cadrage)

    Ensuite.. l'éternel/sempiternel débat... pro/amateur/amateur passionné...reportages/films ...trop chère/pas assez chère mon fils ..
    "je" passe mon tour :D

    N.B. de plus ce n'est parce que l'image sera parfaite "aux instruments" que l'image sera belle !
     
  10. AQW333

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    C'est là où on diverge donc, on a trouvé , merci ;)

    Tu voudrais que le rendu se fasse à la prise .. alors que de toutes les façons tu devras appliquer lut primaire et toute la suite à l'étalonnage avec des outils qui ne sont pas rigoureux , même l'œil droit ne voit parfois pas la même chose que le gauche ... pour Le pen ce n'était plus un pb :-)

    Que peut être même, comme souvent dans le milieu artistique où tout est subjectif ( c'est l'essence même de l'art ) tu vas plus ou moins tout modifier en cours de réalisation pour plein de raison technique ou humaine... voir abandonner le projet parfois.

    Donc la Lut Finale ;), elle peut être sans fin: Panasonic a régler le pb avec le S9, Lut appliqué dans l'appareil ...c'est cuit :-)
     
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  11. nicolas poisson

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    C’est un sujet intéressant, mais ça dévie. Faudrait séparer.

    On dispose aujourd’hui de deux grandes étapes pour construire l’image : la scène et la post-prod. Suivant les conditions, on peut favoriser l’une ou l’autre.

    Pour un mariage, on ne va pas éclairer l’église avec une tonne de matos. On ne demande pas aux futurs mariés de venir une semaine à l’avance faire des images de tests (en tenue svp). On ne passe pas une journée dans un studio pour créer une LUT custom. Donc la scène, on la subit. On expose au mieux, et on corrige en post-prod.

    Sur une fiction avec des moyens, on passe du temps en pré-prod’ pour trouver un lieu qui va bien. On passe du temps sur la déco et les costumes. On passe du temps sur la lumière. On a toujours la possibilité de corriger en post-prod’, mais l’image issue du tournage est bien plus aboutie.

    Quand on écoute ceux qui bossent en fiction, le curseur est nettement du coté du travail sur la scène : il faut le plus possible s’approcher dès le tournage du rendu espéré. Pour Portrait de la jeune fille en feu, le lieu était peint en bleu pastel. Mais comme ce n’était pas exactement la teinte voulue, ils ont tout repeint dans un autre bleu pastel. C’est pas le genre de décision qu’on prend en regardant une image en log ou un waveform.

    Ces outils présentent-ils des effets secondaires indésirables ? Ce qu’on gagne en qualité d’image, le perd-t-on ailleurs ? Dans le monde vraiment pro, je ne pense pas. Mais quand on a des compétences limitées, est-ce qu’on ne risque pas de se noyer sous des outils qu’on ne maîtrises pas ?
    Si.
    Est-ce qu’on se plante après avoir créé une LUT custom foireuse ?
    Oui.
    Est-ce qu’on se plante en faisant confiance à un moniteur beaucoup trop lumineux ?
    Oui. Tout le monde fait cette erreur au moins une fois.

    Mais progressivement on apprend. Si tu ne t’y mets jamais, tu ne maîtrises jamais. Pour les tournages de mon groupe d’amateurs, j’amène mon Ninja V, mon Cineview Nano et mon iPad – tous calibrés et avec LUT Log>709 (parfois custom, mais plus souvent celle du constructeur). Personne n’a envie de revenir en arrière. Si même nous, pauvres amateurs du dimanche, on y arrive, c'est que ça n'est pas si compliqué que ça.

    L'année dernière, il y a eu une conférence intéressante au micro-salon AFC:

     
    #11 nicolas poisson, 19 Janvier 2025, à 15:47
    Dernière édition: 19 Janvier 2025, à 17:51
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  12. bcauchy

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